Le Colibri, Op. 2, No. 7 (Ernest Chausson): Difference between revisions

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:Où les bambous font le bruit de la mer,
:Où les bambous font le bruit de la mer,
:Où l’açoka rouge aux odeurs divines
:Où l’açoka rouge aux odeurs divines
:S’ouvre et porte au coeur un humide éclair.
:S’ouvre et porte au cœur un humide éclair.


:Vers la fleur dorée, il descend, se pose,
:Vers la fleur dorée, il descend, se pose,
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:Du premier baiser qui l’a parfumée.
:Du premier baiser qui l’a parfumée.


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Revision as of 12:41, 24 February 2010

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CPDL #17523: Network.png  
Editor: David Newman (submitted 2008-07-12).   Score information: Letter, 2 pages, 125 kbytes   Copyright: Public Domain
Edition notes: Cross posting by Art Song Central.
CPDL #11351: Network.png
Editor: Pierre Gouin (submitted 2006-03-29).   Score information: Letter, 2 pages   Copyright: Personal
Edition notes: Copyright © Les Éditions Outremontaises, 2006

General Information

Title: ''Le Colibri, Op. 2, No. 7
Composer: Ernest Chausson
Lyricist: Leconte de Lisle (1818-1894)

Number of voices: 1v   Voicing: Solo Soprano
Genre: Secular, Chanson

Language: French
Instruments: Piano

Published:

Description:

External websites:

Original text and translations

French.png French text

Le vert colibri, le roi des collines,
Voyant la rosée et le soleil clair,
Luire dans son nid tissé d’herbes fines,
Comme un frais rayon s’échappe dans l’air.
Il se hâte et vole aux sources voisines,
Où les bambous font le bruit de la mer,
Où l’açoka rouge aux odeurs divines
S’ouvre et porte au cœur un humide éclair.
Vers la fleur dorée, il descend, se pose,
Et boit tant d’amour dans la coupe rose,
Qu’il meurt, ne sachant s’il l’a pu tarir!
Sur ta lèvre pure, ô ma bien-aimée,
Telle aussi mon âme eut voulu mourir,
Du premier baiser qui l’a parfumée.